De plus, les personnifications successives des éléments naturels (emploi de l'impératif v.14 et du « vous » v.4 et 8, introduisant une symétrie dans la chute des quatrains qui entretient la confusion entre la voix de la nature et celle du poète) trompent l'attente du lecteur : alors qu'on pouvait s'attendre à un poème d'amour, on se trouve en présence d'une plainte amoureuse (ton élégiaque).