Armé d'un fusil
Après avoir tiré sur le soldat au monument aux morts, Michael Zehaf-Bibeau s'est emparé par la force d'une voiture officielle pour gagner plus rapidement l'entrée du Parlement. "Un homme avec les cheveux noirs assez longs, un foulard sur le bas du visage, était armé d'un fusil" en allant vers la porte principale du Parlement, a raconté un témoin.
Un peu après, une forte détonation a été entendue, suivie de tirs nourris des policiers, selon une vidéo d'un journaliste du Globe and Mail."Un homme est entré dans le Parlement en courant. Il était poursuivi par des policiers armés de fusils qui criaient à tout le monde de se mettre à couvert", a raconté à l'AFP Marc-André Viau, un cadre d'un parti politique. Les échanges de coups de feu ont duré "quelques minutes", a souligné le sénateur Pierre-Hugues Boisvenu.
Le tireur a finalement été abattu par le chef de la sécurité du Parlement, le "sergent d'armes" Kevin Vickers, 58 ans, ancien officier de la Gendarmerie royale du Canada, que bon nombre d'élus et de responsables canadiens ont ensuite couvert d'éloges.
Au moment de l'attaque, le Premier ministre Stephen Harper était dans l'édifice, assistant à la réunion hebdomadaire des parlementaires du parti conservateur qu'il dirige. "Il a été mis rapidement en sécurité (...) malgré un court moment de panique", a raconté le sénateur Boisvenu, témoin de la scène.
Le chef du gouvernement canadien a annulé toutes ses obligations comme la remise prévue à Toronto de la citoyenneté d'honneur du Canada à Malala Yousafzai, toute nouvelle lauréate du prix Nobel de la paix.
Le président américain Barack Obama, après son entretien avec Stephen Harper, a condamné les "attaques scandaleuses" dont le Canada a été la cible. "Je suis consterné" par cette attaque, a écrit le Premier ministre britannique David Cameron sur Twitter, tandis que le président français François Hollande exprimait la "totale solidarité de la France" avec les Canadiens.
Le ministre australien de la Justice, Michael Keenan, a indiqué que le gouvernement allait déployer des forces de police supplémentaires autour des bâtiments parlementaires à Canberra.Les autorités n'ont identifié aucune menace spécifique, a-t-il toutefois précisé.
Armé d'un fusil
Après avoir tiré sur le soldat au monument aux morts, Michael Zehaf-Bibeau s'est emparé par la force d'une voiture officielle pour gagner plus rapidement l'entrée du Parlement. "Un homme avec les cheveux noirs assez longs, un foulard sur le bas du visage, était armé d'un fusil" en allant vers la porte principale du Parlement, a raconté un témoin.
Un peu après, une forte détonation a été entendue, suivie de tirs nourris des policiers, selon une vidéo d'un journaliste du Globe and Mail."Un homme est entré dans le Parlement en courant. Il était poursuivi par des policiers armés de fusils qui criaient à tout le monde de se mettre à couvert", a raconté à l'AFP Marc-André Viau, un cadre d'un parti politique. Les échanges de coups de feu ont duré "quelques minutes", a souligné le sénateur Pierre-Hugues Boisvenu.
Le tireur a finalement été abattu par le chef de la sécurité du Parlement, le "sergent d'armes" Kevin Vickers, 58 ans, ancien officier de la Gendarmerie royale du Canada, que bon nombre d'élus et de responsables canadiens ont ensuite couvert d'éloges.
Au moment de l'attaque, le Premier ministre Stephen Harper était dans l'édifice, assistant à la réunion hebdomadaire des parlementaires du parti conservateur qu'il dirige. "Il a été mis rapidement en sécurité (...) malgré un court moment de panique", a raconté le sénateur Boisvenu, témoin de la scène.
Le chef du gouvernement canadien a annulé toutes ses obligations comme la remise prévue à Toronto de la citoyenneté d'honneur du Canada à Malala Yousafzai, toute nouvelle lauréate du prix Nobel de la paix.
Le président américain Barack Obama, après son entretien avec Stephen Harper, a condamné les "attaques scandaleuses" dont le Canada a été la cible. "Je suis consterné" par cette attaque, a écrit le Premier ministre britannique David Cameron sur Twitter, tandis que le président français François Hollande exprimait la "totale solidarité de la France" avec les Canadiens.
Le ministre australien de la Justice, Michael Keenan, a indiqué que le gouvernement allait déployer des forces de police supplémentaires autour des bâtiments parlementaires à Canberra.Les autorités n'ont identifié aucune menace spécifique, a-t-il toutefois précisé.
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