De là, il est facile de comprendre qu'en éliminant la négation, on ait pu, par ironie et dans une situation identique, dire "ça me rendra la jambe mieux faite".
Ce n'est qu'au XIXe siècle qu'on trouvera d'abord un "ça me fait bien la jambe" avant que notre expression avec sa forme actuelle prenne le dessus.