Les hommes y recherchent de l’excitation, des sensations fortes et une forme de plaisir. Et ceux qui y assistent vivent l’extériorisation de cette violence par procuration. » La violence physique fera toujours partie de nous car elle est née dans notre cerveau reptilien. Sentir son poing s’enfoncer dans un visage ennemi, comme le goût de son propre sang sur les gencives après une vilaine droite, feront toujours partie de ces petits plaisirs puérils qui font de nous des hommes. Pour le pire et le meilleur…