Ils invitent les pouvoirs publics à faire le ménage dans ce domaine, à veiller à ce que les praticiens en exercice soient diplômés et accrédités, et ils encouragent les patients à prendre tous les renseignements utiles avant de commencer un traitement de ce type. Pour d’autres, en revanche, s’il faut bien entendu se défendre des charlatans, trop nombreux dans ce secteur, il n’est pas inintéressant d’associer médecine classique et médecine douce, considérée comme complémentaire.