Enfin, les chiens tient la langues jusqu’à terre. deux grands bergers. L’air a demi sauvage, portent des manteaux roux qui tombent sur leurs chaussures, Tout ce monde passé la grande port avec un bruit de forte pluie. Quelle emotion dans la maison.
De gros paons vert et or lancent un formidablecri de trompette. Le poulailler se réveille en sursaut. On a l’impression que chaque mouton a rapport dans sa laine un parfum d’herbe sauvage un peu d’air vif qui donne en vie de danser.
L’installation est pleine de surprises. Les vieux son émus de retrouver la ferme. Les petits regardent autour d’eux avec étonnement. les chiens s’occupent de leurs bêtes et resistant encore au repos. Quand tous sont enfermes