Le jeune homme était toutefois dans le radar des services de renseignement depuis 2010, date à laquelle il a fait l’objet d’une « fiche S » (« S » pour « sûreté de l’Etat ») pour sa supposée radicalisation islamiste. « Mais [il] n’avait jamais été impliqué dans un dossier de filière ou d’association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste », a précisé samedi le procureur de la République de Paris, François Molins.