explique le narrateur qui a quitté la capitale et s’est installé dans
un vieux moulin abandonné, à côté des Baux-de-Provence. Enchanté par le paysage et la lumière éclatante, il dit ne
pas regretter le « Paris bruyant et noir » (p. 30). Il a assisté la veille au retour des troupeaux des alpages où ceux-ci
ont passé six mois dans les verts pâturages. Les troupeaux sont accueillis avec joie par tous les villageois. Le narrateur
s’attendrit sur les béliers, les moutons et les brebis, mais surtout sur les chiens de bergers qui, pourtant harassés, ne
consentent à regagner leur chenil qu’une fois tout le bétail installé dans l’étable