Malraux, enthousiaste, donne quelques conseils à Camus, qui retravaillera son texte, et attire l’attention de Gaston Gallimard sur la qualité du roman et l’intérêt qu’il aurait à en lier la parution à celle du Mythe de Sisyphe : « L’essai et le roman, au fond, sont jumelés et il y aurait grand avantage à les publier ensemble ». Entre temps, Pascal Pia avait envoyé les textes dactylographiés de L’Étranger, du Mythe de Sisyphe et de Caligula à la NRF à l’attention de Jean Paulhan.