Il ne faut pas pour autant considérer le téléphone comme l'ennemi public numéro un, responsable de la crise d'adolescence ou des conflits familiaux, conseille Elizabeth Sahel. Les parents doivent apprendre à gérer une relation à trois entre eux, l'enfant et le téléphone. Ils doivent prendre le temps du dialogue et rester les référents de leur enfant en cas de problème. En diabolisant le portable, ils risquent de sortir du jeu.»