« L’état d’alerte interdisant le trafic aérien dans la zone du volcan Bardarbunga reste rouge car une éruption imminente ne peut pas être exclue », a toutefois précisé l’IMO sur son site samedi soir. « Pour le moment, l’éruption est considérée comme un événement mineur », avait déclaré dans la journée la direction de la police islandaise, tout reconnaissant ignorer « si l’éruption va rester sub-glaciaire ou non ».
Comme d’autres volcans islandais, le Bardarbunga, situé dans le sud du pays et qui s’élève à 2 000 mètres d’altitude, est recouvert d’une couche de glace dont l’épaisseur varie de 150 à 400 mètres.
« Je ne peux pas assurer qu’il ne s’est rien passé, mais il est clair qu’il n’y a pas de traces de glace fondue consécutive à une éruption sous un glacier. Sans doute le magma n’a-t-il pas encore atteint la surface », a avancé samedi soir Magnus Tumi Gudmundsson, l’un des géophysiciens islandais les plus connus, sur la chaîne publique Ruv.
RISQUE DE PARALYSIE DANS LE CIEL EUROPÉEN
Les scientifiques considèrent le Bardarbunga comme suffisamment dangereux, s’il entre en éruption, pour perturber le trafic aérien dans le nord de l’Europe et dans l’Atlantique nord avec ses projections de cendres. Il pourrait également provoquer des dégâts importants en Islande, notamment des inondations, avec la fonte des glaces.
L’Islande face à une nouvelle menace d‘éruption
L’Islande et ses paysages à couper de souffle. Mais, sous la calotte du plus grand glacier du pays, un géant est en ébullition : le volcan du Bardarbunga qui s’est réveillé samedi dernier.
Depuis, l’institut météorologique islandais le surveille comme le lait sur le feu car à tout moment il peut entrer en éruption et menacer l’espace aérien du pays et du nord de l’Europe.
Il a généré plus de 2000 séismes ces dernières 24 heures.
“Si une éruption a lieu, cela se produira très rapidement et le magma migrera vers la surface. Le magma peut aussi se stabiliser et dans ce cas, rien ne se produira”, explique Kristin Jonsdottir, la coordinatrice scientifique du bureau de veille sismique d’Islande.
Un fossé de 25 km de long s’est creusé sous le glacier. Les tremblements de terre seraient donc le résultat des mouvements provoqués par le passage du magma dans ce fossé.
Plus qu’une paralysie de l’espace aérien
« L’état d’alerte interdisant le trafic aérien dans la zone du volcan Bardarbunga reste rouge car une éruption imminente ne peut pas être exclue », a toutefois précisé l’IMO sur son site samedi soir. « Pour le moment, l’éruption est considérée comme un événement mineur », avait déclaré dans la journée la direction de la police islandaise, tout reconnaissant ignorer « si l’éruption va rester sub-glaciaire ou non ».
Comme d’autres volcans islandais, le Bardarbunga, situé dans le sud du pays et qui s’élève à 2 000 mètres d’altitude, est recouvert d’une couche de glace dont l’épaisseur varie de 150 à 400 mètres.
« Je ne peux pas assurer qu’il ne s’est rien passé, mais il est clair qu’il n’y a pas de traces de glace fondue consécutive à une éruption sous un glacier. Sans doute le magma n’a-t-il pas encore atteint la surface », a avancé samedi soir Magnus Tumi Gudmundsson, l’un des géophysiciens islandais les plus connus, sur la chaîne publique Ruv.
RISQUE DE PARALYSIE DANS LE CIEL EUROPÉEN
Les scientifiques considèrent le Bardarbunga comme suffisamment dangereux, s’il entre en éruption, pour perturber le trafic aérien dans le nord de l’Europe et dans l’Atlantique nord avec ses projections de cendres. Il pourrait également provoquer des dégâts importants en Islande, notamment des inondations, avec la fonte des glaces.
L’Islande face à une nouvelle menace d‘éruption
L’Islande et ses paysages à couper de souffle. Mais, sous la calotte du plus grand glacier du pays, un géant est en ébullition : le volcan du Bardarbunga qui s’est réveillé samedi dernier.
Depuis, l’institut météorologique islandais le surveille comme le lait sur le feu car à tout moment il peut entrer en éruption et menacer l’espace aérien du pays et du nord de l’Europe.
Il a généré plus de 2000 séismes ces dernières 24 heures.
“Si une éruption a lieu, cela se produira très rapidement et le magma migrera vers la surface. Le magma peut aussi se stabiliser et dans ce cas, rien ne se produira”, explique Kristin Jonsdottir, la coordinatrice scientifique du bureau de veille sismique d’Islande.
Un fossé de 25 km de long s’est creusé sous le glacier. Les tremblements de terre seraient donc le résultat des mouvements provoqués par le passage du magma dans ce fossé.
Plus qu’une paralysie de l’espace aérien
การแปล กรุณารอสักครู่..