Tu ne peux t’imaginer l’accouchement dans la douleur,
Accablée d’atroces tiraillements qui lui arrachent le cœur !
Elle t’a si souvent purifiée de ses propres mains,
Cette mère dont le giron t’offrit un repos serein.
Elle sacrifiait tout pour toi lorsque tu te lamentais,
Et en son sein une boisson pure dont tu te nourrissais.