Sous ses airs de ne pas y toucher, le romancier-voyageur-conseiller d'Etat pointe les déséquilibres engendrés par les subventions que les Etats-Unis continuent d'accorder à leurs cultivateurs et la pression sur les prix exercée par la grande distribution, le tout sous les yeux d'une Europe qui paraît bien dépassée. Un regard peu politiquement correct donc, qui n'empêche cependant pas au final Erik Orsenna de fonder ses espoirs sur l'Organisation mondiale du commerce de son "ami" Pascal (Lamy)